Cristina Ștefan : La distance physique n’a pas été un obstacle pour me rappeler mes arrières grands-parents et des arrières grands-parents

100 ans après l’Union, je pense nostalgiquement à la période que où je vivais à l’étranger, loin de tout ce que mon âme ressent de précieux et d’indispensable à mon existence émotionnelle. D’autre part, la distance physique n’a pas été un obstacle pour me rappeler de mes arrières grands-parents et des arrières grands-parents de mes arrières grands-parents, de l’histoire du pays où
j’ai grandi, j’ai respiré et qui a contribué à mon développement en tant
qu’être humain, chercheur, épouse, mère et citoyenne de ce pays dont je suis très fière. Je reste avec l’espoir que les 100 prochaines années dans la vie
de la Roumanie seront remplies de joie, respect et dignité pour tous les Roumains qui l’aiment et qui croient en elle.